La première consultation est toujours sans frais.

Ensuite, dans le cadre de nos services et afin de combler certains de leurs besoins, nos clients souscrivent, généralement, à certains produits (assurances, investissements, prêts hypothécaires, etc.). Nous sommes alors rémunérés par l’entremise des compagnies que nous représentons et pour lesquelles nous avons recommandé un produit. Nous n’exigeons donc aucun honoraire.

Par contre, il est possible, dans certains rares cas, que nous exigions des honoraires. Si cela devait survenir, vous serez toujours avisés longtemps d’avance et une entente écrite aura été établie au préalable. Vous n’aurez donc aucune mauvaise surprise.

Depuis quelques années, M. Taillefer travaille exclusivement pour les professionnels de la santé et leurs familles.

Toutefois, nous ne refusons aucun client et certains membres de notre équipe ont développé une expertise avec des clients de plusieurs autres domaines. Il nous fera donc plaisir de vous pairer avec un membre de notre équipe.

Non. Étant courtiers nous pouvons vous offrir l’ensemble des produits disponibles sur le marché. Nous n’offrons d’ailleurs aucun produits «maison» puisqu’il n’y en aucun à offrir.

Notre offre de produits et services est donc indépendante de tout conflit d’intérêt liée à notre employeur ou la firme par l’entremise de laquelle nous transigeons.

Les prix et les frais pour un même produit sont identiques partout et ce, peu importe le conseiller ou l’institution.  Ce qui diffère est généralement l’offre de services qui l’accompagne et la recommandation elle-même. Il est possible qu’un conseiller vous recommande un produit plutôt qu’un autre. À ce moment-là, il devra en justifier sa recommandation.

Cela ne vous coûte donc pas plus chers de faire affaires avec nous qu’avec une grande Institution financière et vous obtiendrez, en plus, des services à valeur ajoutée.

Il y a quelques années, certains disaient que l’investissement socialement responsable (ISR), éthique ou durable n’était qu’une mode passagère. Pourtant, au cours des dernières années, cette forme d’investissement a su démontrer qu’elle n’avait rien d’une tendance passagère et qu’elle relevait plutôt  d’une prise de conscience, au sein de la population, de certains enjeux environnementaux et sociaux ainsi que de la capacité qu’a chacun de changer les choses.

Ainsi, si autrefois, les fonds éthiques ne s’adressaient qu’à ceux et celles qui étaient engagés par rapport aux enjeux sociaux et environnementaux et qui ne se souciaient que très peu du rendement de leurs portefeuilles d’investissements, aujourd’hui, avec l’ampleur du phénomène, ce n’est plus du tout le cas.

Les placements à caractère socialement responsable offrent aujourd’hui des rendements équivalent et même, parfois, supérieurs aux placements «traditionnels», en plus de servir de leviers économiques et sociaux à ceux et celles qui les utilisent comme placements.

De plus, les entreprises qui sont des chefs de file dans leur secteur sont moins susceptibles d’être durement touchées par de nouvelles réglementations favorisant le respect de l’environnement. Plusieurs analystes considèrent donc que ces organisations présentent un risque moindre pour l’investisseur.

Lorsque 100% de nos placements seront socialement responsables, nos entreprises n’auront guère le choix que de l’être, elles aussi…

Le mythe du rendement inférieur

Faire des gains. Faire la différence.

Les investisseurs font des gains en aidant les entreprises à oser la différence

Investissement socialement responsable

Comprendre l’investissement socialement responsable (ISR)

Règle générale, les cotisations REER versées au cours de l’année sont déductibles du revenu imposable de cette même année ou des années suivantes, alors que les cotisations versées dans les 60 premiers jours de l’année peuvent être déduites du revenu imposable de l’année précédente, de l’année courante ou des années suivantes.

Vous avez donc, généralement, jusqu’au 1er mars de l’année qui suit pour contribuer à votre REER pour l’année fiscale précédente.

De façon générale, la date limite pour transmettre votre déclaration de revenus et, s’il y a lieu, payer vos impôts est fixée au 30 avril.

Toutefois, si vous êtes travailleurs autonome, vous avez jusqu’au 15 juin pour transmettre votre déclaration de revenus. Mais attention ! Les impôts, quant à eux, doivent malgré tout être payés au 30 avril.

Ceci dit, après une ou deux années de travail, les travailleurs autonomes ont généralement à verser des acomptes provisionnels à date fixe, 4 fois par année, soit au :

– 15 mars
– 15 juin
– 15 septembre
– 15 décembre

Tout manque à gagner doit ensuite être défrayé au plus tard au 30 avril de l’année qui suit.

Finalement, pour ceux et celles qui ont incorporé leur pratique et/ou qui sont propriétaires d’entreprises incorporées, la date de déclaration d’impôts personnelle demeure le 30 avril. La date de déclaration corporative, quant à elle, dépend du choix que votre comptable ou vous-même avez effectuée lors de la première année fiscale de l’incorporation. Si vous n’en êtes pas certains, nous vous invitons à communiquer avec celui ou celle qui complète vos impôts.

Non. Nos partenaires font partie intégrante de notre offre globale de services, mais si vous êtes déjà pris(e) en charge par d’autres professionnels (comptable, notaire, avocat, etc.), nous nous ferons un plaisir de collaborer avec eux.

Si vous avez accès à un régime d’assurance médicaments privée seul(e) ou via l’entremise de votre conjoint(e), l’adhésion à ce régime est obligatoire. Autrement, vous devez vous inscrire à l’assurance du Régime d’assurance médicaments du Québec (RAMQ).

Quant à l’assurances maladies et soins complémentaires, l’adhésion est facultative.

Que vous hésitiez entre le régime de votre conjoint ou le vôtre, que vous sachiez ou non si vous avez accès à un régime ou un autre, ou, encore, si vous vous questionnez à savoir si vous devez adhérer à un régime quelconque, l’un de nos conseillers se fera un plaisir de vous accompagner dans votre choix et vous aider à démystifier tout cela.

Généralement, les documents et informations requis se résument à ceux-ci :

– Sommaire de vos avoirs et de vos dettes;

– Tous relevés de placements récents (REER, CELI, Autres);

– Tous contrats d’assurances personnels (vie, invalidité, maladies graves, etc.)

– Guide d’avantage sociaux, s’il y a lieu;

– Avis de cotisation fédéral le plus récent;

– Pièces d’identités;

– Chéquier;

Si d’autres documents sont nécessaires ou pourraient être utiles suite à votre rencontre avec votre conseiller, ce dernier vous le mentionnera.